Titre :	Mon vrai nom est Elisabeth
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Adèle Yon, Auteur
Editeur :	Editions du Sous-sol, 2025
Description :	400 p.
ISBN/ISSN :	978-2-36468-957-2
Prix :	22 €
Mots-clés :	psychiatrie  féminisme  famille  folie  lobotomie  enquêtes.
Index. décimale :	R YON m
Résumé :	Une chercheuse craignant de devenir folle mène une enquête pour tenter de rompre le silence qui entoure la maladie de son arrière-grand-mère Élisabeth, dite Betsy, diagnostiquée schizophrène dans les années 1950. La narratrice ne dispose, sur cette femme morte avant sa naissance, que de quelques légendes familiales dont les récits fluctuent. Une vieille dame coquette qui aimait nager, bonnet de bain en caoutchouc et saut façon grenouille, dans la piscine de la propriété de vacances. Une grand-mère avec une cavité de chaque côté du front qui accusait son petit-fils de la regarder nue à travers les murs. Une maison qui prend feu. Des grossesses non désirées. C’est à peu près tout. Les enfants d’Élisabeth ne parlent jamais de leur mère entre eux et ils n’en parlent pas à leurs enfants qui n’en parlent pas à leurs petits-enfants. “C’était un nom qu’on ne prononçait pas. Maman, c’était un non-sujet. Tu peux enregistrer ça. Maman, c’était un non-sujet.”
Nature du document :	fiction
Genre :	roman

Mon vrai nom est Elisabeth [texte imprimé] / Adèle Yon, Auteur . - Editions du Sous-sol, 2025 . - 400 p.
ISBN : 978-2-36468-957-2 : 22 €

Mots-clés :	psychiatrie  féminisme  famille  folie  lobotomie  enquêtes.
Index. décimale :	R YON m
Résumé :	Une chercheuse craignant de devenir folle mène une enquête pour tenter de rompre le silence qui entoure la maladie de son arrière-grand-mère Élisabeth, dite Betsy, diagnostiquée schizophrène dans les années 1950. La narratrice ne dispose, sur cette femme morte avant sa naissance, que de quelques légendes familiales dont les récits fluctuent. Une vieille dame coquette qui aimait nager, bonnet de bain en caoutchouc et saut façon grenouille, dans la piscine de la propriété de vacances. Une grand-mère avec une cavité de chaque côté du front qui accusait son petit-fils de la regarder nue à travers les murs. Une maison qui prend feu. Des grossesses non désirées. C’est à peu près tout. Les enfants d’Élisabeth ne parlent jamais de leur mère entre eux et ils n’en parlent pas à leurs enfants qui n’en parlent pas à leurs petits-enfants. “C’était un nom qu’on ne prononçait pas. Maman, c’était un non-sujet. Tu peux enregistrer ça. Maman, c’était un non-sujet.”
Nature du document :	fiction
Genre :	roman