Ethique / Spinoza / Flammarion (1965)

Public ISBD Titre : Ethique Type de document : texte imprimé Auteurs : Spinoza, Auteur Editeur : Flammarion, 1965 Description : 378 p. ISBN/ISSN : 978-2-08-070057-5 Langues : Français (fre) Descripteurs : Motbis morale Résumé : Le point de départ de la réflexion de Spinoza, c'est son expérience propre : il sait, par l'observation, qu'il a un corps, et il a conscience de ses affects. Mais, si c'est bien là une sorte de connaissance, c'est une connaissance incomplète et douloureuse : avoir conscience, c'est, pour l'être humain, sinon toujours souffrir, du moins pâtir, être contraint, accablé. Selon Spinoza, il importe de se faire de son être propre - et des accidents dont sa vie se compose - une idée comparable à celle qu'un mathématicien a d'une figure et des propriétés qui la constituent. Voilà pourquoi il écrit son Éthique "suivant l'ordre géométrique". À la passion succédera alors l'action, à une nécessité extérieure et contraignante, une nécessité conforme à sa volonté devenue raison. Mais, pour atteindre ce but, une connaissance adéquate des rapports que l'être humain entretient avec l'univers est indispensable. L'Éthique, en un mot, prétend nous élever de la conscience à la connaissance de nous-mêmes, et cette connaissance commence par celle de Dieu. Éthique de dieu, éthique de la nature et de l'origine de l'âme, éthique de l'origine et de la nature des affections, éthique de la servitude de l'homme, éthique de la liberté de l'homme. Nature du document : documentaire Discipline : Philosophie Ethique [texte imprimé] / Spinoza, Auteur . - Flammarion, 1965 . - 378 p. ISBN : 978-2-08-070057-5 Langues : Français (fre) Descripteurs : Motbis morale Résumé : Le point de départ de la réflexion de Spinoza, c'est son expérience propre : il sait, par l'observation, qu'il a un corps, et il a conscience de ses affects. Mais, si c'est bien là une sorte de connaissance, c'est une connaissance incomplète et douloureuse : avoir conscience, c'est, pour l'être humain, sinon toujours souffrir, du moins pâtir, être contraint, accablé. Selon Spinoza, il importe de se faire de son être propre - et des accidents dont sa vie se compose - une idée comparable à celle qu'un mathématicien a d'une figure et des propriétés qui la constituent. Voilà pourquoi il écrit son Éthique "suivant l'ordre géométrique". À la passion succédera alors l'action, à une nécessité extérieure et contraignante, une nécessité conforme à sa volonté devenue raison. Mais, pour atteindre ce but, une connaissance adéquate des rapports que l'être humain entretient avec l'univers est indispensable. L'Éthique, en un mot, prétend nous élever de la conscience à la connaissance de nous-mêmes, et cette connaissance commence par celle de Dieu. Éthique de dieu, éthique de la nature et de l'origine de l'âme, éthique de l'origine et de la nature des affections, éthique de la servitude de l'homme, éthique de la liberté de l'homme. Nature du document : documentaire Discipline : Philosophie

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Cote	Section	Localisation	Code-barres	Disponibilité
199.49 SPI	Documentaire	CDI	023052	Disponible